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Trouvera-t-on des solution pour lutter contre l'immense consommation du textile ?

3 avril 2023

La fabrication du coton

Auteur: Laurène Bertelle

adresse URL: Reader (cafeyn.co)

Dans ce document on apprend que le coton est dans notre quotident et qu'il en est produit 25 millions de tonnes par ans soit 5 pyramides de Khéops. E lle est plus produisent que la laine ( 2 millions de tonnes) et le lin ( 200000 tonnes ), mais le plus produit est le polyester 40 millons de tonnes. 

Le debut de la fibre synthetique a commencer au 19e sciecle elle est connu mais sa production reste flou.

Au 18e sciecle le coton devien le symbole de l'esclavage des noir au Etat-Unis . 

Maintenant 80 pays le produise sur le globe grace à sa culture peut exigente et qui se mécanise pour devenir plus performante.

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2 avril 2023

représentation du commerce de lindustrie du textile

Cette cartographie représente le circuit de la fabrication des vêtements pour l’enseigne
ZARA dès la culture du coton jusqu’à leur commercialisation dans les enseignes de prêt-à-
porter.
On note que le principal composant de nos vêtements est le coton qui est un grand
consommateur d’eau, de pesticides, d’engrais chimiques et de teintures. Il s’agit donc d’une
fibre végétale néfaste à notre environnement comme on peut le lire car les engrais
s’infiltrent dans les nappes phréatiques et les teintures utilisées pour lui donner des couleurs
sont responsables de 20 % de la pollution des eaux douces dans le monde.
Des aides sont versées aux cotonculteurs mais on remarque qu’il existe des disparités sur le
montant des aides versées aux producteurs selon les principaux pays de production. Les
principales victimes de ce dumping sont les petits producteurs Africains qui perçoivent des
aides moins importantes que les USA et la Chine.
Après sa récolte, le coton produit essentiellement dans les pays d’Afrique de l’ouest, est
exporté en Inde et en Chine pour être travaillé dans des ateliers de filage, tissage, teinture et
confection où la main d’œuvre est essentiellement composée de jeunes filles, qui travaillent
sous la contrainte, dans des conditions difficiles et pour une rémunération modique (par
exemple : 0.18 € perçu pour l’ouvrière pour un T-shirt vendu 29 € en Europe). Pour répondre
à une demande de surproduction des industriels de la mode afin de satisfaire les demandes
des consommateurs et que le coton subisse au plus vite ses transformations, on note que les
ateliers de manutention sont souvent très surchargés en personnel et que l’on demande aux
ouvrières une grande rentabilité, de la disponibilité et une longue amplitude horaire :
travailler 12 h par jour et un seul jour de congés par semaine.
A la sortie des ateliers de confection, les vêtements sont acheminés en Europe et distribués
dans les différentes enseignes ZARA. Pour répondre encore une fois à la demande des
consommateurs, les industriels de la mode souhaitent renouveler leur stock très rapidement
à raison d’une nouvelle collection tous les 15 jours par exemple. Ceci engendre donc un
problème social, à savoir un surcroit de travail pour les ouvrières des ateliers de confection
dans des conditions difficiles et deux problèmes environnementaux : le gaspillage et le
recyclage car il est porté à notre connaissance qu’un ménage Belge, jette en moyenne 12 kg
par an de vêtements !

infographie_textile_900x594_768x507_1

 

Lien: https://www.oxfamfrance.org/agir-oxfam/impact-de-la-mode-consequences-sociales-environnementales/

Auterur: oxfam france

30 mars 2023

L’impact de la fast fashion sur l’environnement

Comme le montre l’article, l’industrie de la mode connait un bel essor depuis quelques années avec
des manières différentes de consommer ce qui engendre des effets néfastes sur notre
environnement.
On retient que pour confectionner des vêtements, nous avons besoin de beaucoup de matières, ce
qui engendre des émissions de gaz à effet de serre (GES), un épuisement des ressources ainsi que la
pollution des sols et des eaux. En effet, on note que l’industrie du textile est classée comme le 5ème
plus gros émetteur de gaz à effet de serre en Europe et que son émission de Co2 représente environ
2% des émissions totales mondiales soit un pourcentage plus important que les émissions cumulées
des vols internationaux et du trafic maritime.
Ces chiffres sont alarmants écologiquement d’autant plus qu’un nouveau mode de consommation
appelé fast Fashion est né. Ce fléau consiste à acheter en plus grande quantité des vêtements à
petits prix. Par conséquent, les industriels sont dans l’obligation de produire rapidement de
nouveaux vêtements, de surproduire afin de favoriser une rotation plus forte des collections pour
répondre à la demande des consommateurs. De plus, on relève un accroissement des achats en
lignes qui fait craindre une forte augmentation de l’émission de GES d’ici 2050. Ce processus
engendre donc une consommation plus importante de matières premières et par conséquent plus de
rejet de GES, donc un impact plus important sur notre environnement.
A noter également, l’utilisation des produits chimiques dangereux pour la santé et l’environnement
pour l’obtention des teintes de vêtements (produits toxiques, polluant 20 % de nos eaux), produits
que nous retrouvons également dans l’air que nous respirons car du fait d’un gaspillage monstre car
les industries du textile utilisent très peu le recyclage et en lien avec la surproduction et le coût du
stockage, les industriels brûlent les invendus. Les produits chimiques utilisés pour les teintes, se
retrouvent donc les fumées et dans les émissions de CO2 inhalés par les consommateurs mais
également à l’intérieur de nos terres, sur nos cultures ... Encore un facteur de pollution néfaste à
notre environnement.
Pour interagir, des mesures sont votées au fil des années pour essayer de limiter l’impact du fast
fashion sur l’environnement comme :
- En 2018 : adoption de la charte de l’industrie qui a pour objectifs de réduire de 30 % les
émission des GES pour l’habillement d’ici 2030 et de neutraliser le carbone d’ici 2050 ;
- En Août 2019 : signature du fashion pact pour réduire les émissions de GES à 2050 et
accroître le recours aux énergies renouvelables, supprimer les emballages plastiques non
indispensable d’ici 2030 ;
- En 2020 : une loi anti-gaspillage est votée en France, visant à interdire progressivement la
destruction des invendus non alimentaires.
De nombreux groupes de l’industrie de la mode sont signataires seulement, il s’agit de textes non
contraignants par conséquent, aucune sanction n’est prévue si l’entreprise signataire ne remplit pas
les objectifs environnementaux...

article1

5 janvier 2023

Les clés pour comprendre la pollution textile

adresse URL: https://reader.cafeyn.co/reader_prod.html?lang=fr&publicationId=1184565&issueId=21558010

Auteur : Laurène Bertelle

Résumé :

Comme le démontre cet article de Science et Société de Février 2020, la « fast fashion » est
une source importante de pollution et a des conséquences environnementales importantes sur
notre planète. L'industrie textile est placée comme un secteur le plus néfaste à notre planète.
Ceci s'explique par :
- le gaspillage : en effet, les industriels changent souvent de collections ce qui engendre un
accroissement du volume d'achats car les consommateurs sont tentés et pour favoriser les
ventes, ils baissent les prix. On constate donc que le nombre de fois où les habits sont portés
est en baisse ; mais que deviennent les habits jetés ? Sont-ils recyclés ?
- les émissions de gaz à effet de serre : les matières premières cultivées pour la fabrication de
nos vêtements voyagent sur des continents différents. Les transports utilisés dégagent donc
des gaz à effet de serre qui j'ajoutent à ceux rejetés lors de leur fabrication. On sait le gaz à
effet de serre à des effets néfastes sur notre santé et notre environnement (appauvrissement
des sols, pollution des sols, couche d'ozonne...)
- la consommation de l'eau : on not que pour la production du coton, la fabrication de nos
vêtements et l'entretien de ceux-ci par les ménages, une grande quantité d'eau est
consommée. Ceci a donc un impact sur notre environnement : appauvrissement des nappes
phréatiques et sources).
- les produits chimiques : en raison des teintures, des pesticides utilisés pour la culture des
matières premières, des microfibres de plastique libérées lors du lavage des tissus synthétiques
par les particuliers, nos cours d'eau et nos océans sont pollués.
- le recyclage : très peu de fibres vierges sont recyclées car les technologies qui aideraient à
recycler sont encore peur développées. Par conséquent, les vêtements que les consommateurs
ne veulent plus sont stockés dans des décharges ou incinérés. Dans ces deux cas, ceci
engendre des émissions de méthane et de CO2 qui sont responsables de notre réchauffement
climatique.
Pour faire réagir les consommateurs, des appels à boycotter le « black friday » sont lancés, un
rappel sur l'utilisation première des vêtements est mentionnée, un fashion pact, visant à zéro
l'émission de CO2 d'ici à 2050, est signé par 32 industriels en 2019. Mais, l'agence de
l'environnement et de la maîtrise de l'énergie demande à chaque consommateur de réfléchir à
sa manière de consommer (acheter mois, donner en fin d'utilisation) et en les informant que
pour protéger notre planète, « c'est à nous tous d'agir »!

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